Le manque d’accueil de structures collectives pour jeunes enfants et adolescents est bien connu à Bruxelles. Cette situation de manque d’accueil débute à la crèche, se poursuit dans la difficulté de trouver une « bonne école », puis se montre de manière particulièrement inégale dans l’accès aux activités extrascolaires pour les enfants et adolescents.L’expérience des femmes monoparentales est à cet égard particulièrement intéressante à analyser. Le texte téléchargeable ci-dessous s’intéresse plus largement aux activités organisées pour les enfants et adolescents. Ces dernières sont souvent mises en place par certaines écoles, les acteurs associatifs ainsi que différents services publics. Il est question d’aborder ces supports institutionnels dans leur rapport aux espaces résidentiels de vie.